Politique

Région parisienne: un Polisarien à la rue? L’activiste Claude Mangin vole à son secours auprès du maire, communiste

via Le360

Elle se nomme Claude Mangin, et elle est l’épouse de Naâma Asfari, l’un des égorgeurs de Gdeim Izik. Elle vient d’intercéder auprès du maire communiste d’Ivry-Sur-Seine. Sa requête auprès de l’élu? Obtenir un logement social à un activiste du Polisario. Explications.

Claude Mangin, épouse de Naâma Asfari, l’un des égorgeurs de Gdeim Izik, ne recule devant rien quand il s’agit de mener campagne contre le Maroc. Elle vient de se rappeler à notre souvenir depuis la commune d’Ivry-Sur-Seine, dans le Val-De-Marne, où elle réside. 

 

Selon les sources contactées par Le360, celle qui a épousé la soi-disant «cause sahraouie», Claude Mangin, a fait des pieds et des mains pour «caser» la famille d’un activiste polisarien, le dénommé Mrizig Salek, en essayant de lui obtenir un logement social à loyer modéré financé en grande partie par le contribuable.

 

Pour ce faire, elle a approché le maire communiste (PCF) d’Ivry-Sur-Seine, Philippe Bouyssou, par le biais de Mehdi Mokrani, l’un de ses adjoints d’origine algérienne et qui se charge des questions sociales. Et il ne s’agit pas de la première preuve de «l’engagement» de Claude Mangin en faveur de Mrizig Salek, son épouse Judit Ferreyra (de nationalité espagnole) et de leurs enfants.

 

L’épouse de Naâma Asfari a logé la famille de l’activiste du Polisario pendant plusieurs mois dans un studio de 45 m2 lui appartenant dans la même commune. 

 

Par la suite, elle fait jouer ses relations sur place pour leur obtenir un toit au foyer Coalia, grâce aux bons offices de la paroisse catholique. Sauf que la famille de Mrizig Salek doit déguerpir des lieux à la fin du mois de juillet prochain. Il y a donc urgence.

 

SalekJudith

Mrizig Salek et sa femme espagnole, reçus par l’ONG Espérentza à Ivry-Sur-Seine, en novembre 2018.

© Copyright : DR

 

 

Les liens entre Claude Mangin et Mrizig Salek ne semblent pas dater d’hier, mais remonter à plusieurs années. En novembre 2018, elle avait présenté le couple à une ONG dénommée «Espérentza» qui s’active au service des Roms essentiellement, dans la même commune d’Ivry-Sur-Seine. Mais gageons que Madame Asfari, qui préside l’ONG Action des chrétiens pour l’abolition de la torture (ACAT), une officine au service du tandem algéro-polisarien, finira par obtenir ce qu’elle demande pour ses protégés.

 

Le maire communiste d’Ivry-Sur-Seine est connu pour son soutien aux séparatistes et pour sa grande hostilité au Maroc, comme le reste des élus, majoritairement issus du PCF. Cela fera des hommes de main de plus pour Claude Mangin. Un Mrizig Salek, qui lui sera redevable, pourra toujours lui servir dans des actes contre le Maroc, ou alors pour les besoins d’une propagande dont peu de monde est encore dupe. 

 

Quant à Mehdi Mokrani, conseiller municipal, il va bien falloir qu’il explique aux administrés de sa ville pourquoi il détourne les logements sociaux, réservés à ceux qui en ont besoin, au profit d’activistes qui ne servent pas les intérêts des habitants d’Ivry-Sur-Seine.

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